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Les premières citations de Bergues datent de 944 : « CASTRUM QUOD DICUNT BERGAM », mais selon la légende, WINOC se serait retiré entre 665 et 675, avec quelques compagnons, sur le GROENBERG. Dès le 13ème siècle, la ville obtenait une charte de la comtesse Jeanne de Flandre, adhérait à la Hanse de Londres, possédait un beffroi, halle, échevinage, sceau et armoiries, c’est alors la cité la plus importante de l’ouest de la Flandre. Victime de plusieurs destructions, entièrement détruite en 1558, Philippe II la fit reconstruire. C’est en 1668 que Bergues devient française. Son église paroissiale, dédiée à Saint-Martin, remonte aux 13ème/14ème siècles. Après sa destruction en 1558, elle est rebâtie, entre 1560 et 1595, sur le plan de la hallekerque flamande, une grande tour s’élevait sur son côté nord. Presque entièrement détruite en 1944, elle est rebâtie dans sa forme actuelle : en accord avec l’évêché, elle n’est reconstruite que partiellement. Tout son mobilier ancien a été détruit, seules quelques toiles et reliquaires ont été sauvés de l’incendie. Elle ne possède plus de retables, la fonction « retable » n’étant plus d’actualité. Des vitraux de grande qualité font baigner l’intérieur de l’église d’une grande clarté dorée. Chemin de croix, en céramique, de Jeanne Champillou. Dans un local, côté sud, se trouve un confessionnal, en chêne, du milieu du 18ème siècle |
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| Culte catholique | |
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Messe le dimanche à 10h30. Nouveau site internet de la paroisse :http://www.paroisse-bergues.fr |
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